Votre rapport relationnel avec les enfants

[Nujiel]

Je n'apprécie pas la compagnie des bébés, ils me mettent mal à l'aise. Par contre j'aime bien quand ils sont un peu plus grands, surtout quand ils se mettent à poser des questions improbables, du genre ça commence où la pluie ? (mais ça, c'est juste parce que je suis capable de poser le même genre de questions, alors on se comprend )

[ginny anne]

Je n'ai jamais voulu être enceinte. Franchement les nausées, les fringales, la prise de poids, non merci. Et pourtant j'adore les enfants. Je m'occupe d'enfants dans le cadre de l'accompagnement scolaire mais quand j'ai fini ma journée, je suis bien contente que ce soit les parents qui prennent le relai.
J'avais envisagé l'adoption mais après réflexion, franchement non merci.

[Nath_C]

J'ai 2 garçons, que j'adore, et qui ont quasi quitté la maison aujourd'hui et c'est plutôt cool. Petits enfants, petits soucis ; grands enfants, grands soucis.

[Fabienne]

J'adore mon fils.
Les autres enfants.... ça dépend, c'est comme les chats, Je n'aime pas les chats qui miaulent

[Mel]

J'aime bien les gosses ! Ils sont délicieux avec une sauce colombo (je plaisante)
C'est sympa certains, mais je sais pas si j'en souhaiterais plus tard mais maintenant non

[Narcissa]

J'adore mon fils.
Les autres enfants.... ça dépend, c'est comme les chats, Je n'aime pas les chats qui miaulent

Les pires c'est les enfants qui miaulent

[Myra]

Je ne veux pas d’enfant. Pour plein de raisons, déjà parce que l’envie n’est pas là. Mais c’est clair que rien ne me fait rêver dans la maternité : de la grossesse au rôle de parent en passant par l’accouchement.

Est-ce que j’aime les enfants ? Je dirais que c’est conditionnel comme amour (s’ils sont sages ou non violents) donc non, au fond, non. Mais j’ai déjà fait la baby sitter pour mes cousins, quelques fois, je ne déteste pas les enfants, je les trouve mimi en général et je regarde souvent une chaîne youtube familiale en ce moment, je m’intéresse à la parentalité positive. Je n’ai juste pas assez d’energie et d’enthousiasme avec eux. C’est un rôle à vie, surtout en cas de gros handicap.

[lordprosciutto]

J'aime beaucoup les enfants (à part ceux qui sont malveillants avec un comportement comme se moquer des autres ou leur faire du mal), j'ai pas mal d'écart d'âge avec mon frère et mes cousin-es donc j'ai toujours trouvé ça attendrissant la façon dont les enfants considèrent le monde, leur innocence, leur façon de rire d'un rien, etc. Je m'entends bien aussi avec les ados généralement. Avec les bébés j'ai plus de mal, je sais pas comment agir avec eux et j'ai souvent peur de leur faire mal par accident.

Pour ce qui est d'avoir des enfants, je n'en veux pas. Pas envie, tout simplement, de m'investir là-dedans. Ce n'est pas une décision qu'on prend à la légère, c'est à vie, et je me sens pas d'assumer la responsabilité d'être parent.
Et même si j'en avais envie, je pense que je n'en aurai pas. Simplement parce que je pense que je serais une mauvaise mère, voilà tout.

[Nath_C]

Comme je l'ai dit précédemment, j'ai 2 fils, de 22 et 19 ans, que j'adore. L'un a quitté la maison, il bosse, fait sa vie à Lyon. L'autre est étudiant à Lille. Et je suis très fière de la façon dont ils mènent leur barque.
L'arrivée du cadet, 3 ans et demi après l'aîné, a été beaucoup plus sereine pour moi. J'étais forte de mon expérience et, autant pour l'aîné j'ai repris à la fin de mon congé maternité, autant pour le cadet, j'ai tenu à prolonger pour profiter. Je l'allaitais, ça se passait très bien. Il était un bébé facile. Avec le recul, les deux ont été des bébés faciles. Maman calme, bébé calme, m'avait dit le médecin. Mais un 1er, c'est juste flippant. Pour vous dire à quel point ça se passait bien, on a tenté le 3è, mais ça ne s'est pas fait. Et pas de regret.

Oui, quand on fait des gosses, c'est à vie. Ils ont beau avoir quitté la maison (ou presque), il y a un coin dans mon cerveau qui me fait tout le temps avoir peur pour eux. C'est de l'ordre de l'inconscient : ça ressort, de temps à autre : ne font-ils pas de mauvaises rencontres en rentrant tard ? Est-ce qu'il va réussir sa période d'essai et garder son job ? N'aura-t-il pas de problème sur la route ?
Même quand on pense être prêt, on ne l'est jamais vraiment. Parce que ça bouleverse la vie sur tous les plans : émotionnel, d'abord. Mais aussi matériel. Matériel, en termes financier, bien sûr (bah oui, même si c'est tabou), mais aussi gestion du temps, de la vie pro, perso... Relation avec le père, la famille / belle-famille... Et dernière chose : les mômes, ça fait prendre conscience que le temps passe super vite : il suffit d'ouvrir un album photo, remonter quelques années en arrière et voir comme ils ont changé.

Mais je comprends le concept d'hôtel réservé aux plus de 13 ans. J'ai même vu que ça commence pour les vols

[Redskinace]

Les enfants me dégoûtent...

Oui je sais, c'est un peu agressif mais c'est comme ça.

Avant même de découvrir mon asexualité, les gosses me dégoûtait, je déteste être en leurs présence et l'idée même d'en avoir me révulse au plus haut point.

J'arrive plus ou moins à supporter ceux de ma propre famille, alors ceux d'inconnus n'en parlons pas...

Pour le coup, mon asexualité est un don du destin.

[Walther]

Les enfants me dégoûtent...

Oui je sais, c'est un peu agressif mais c'est comme ça.

Avant même de découvrir mon asexualité, les gosses me dégoûtait, je déteste être en leurs présence et l'idée même d'en avoir me révulse au plus haut point.

J'arrive plus ou moins à supporter ceux de ma propre famille, alors ceux d'inconnus n'en parlons pas...

Pour le coup, mon asexualité est un don du destin.

C'est radical.

[Grignoteuse de bouquins]

Je n'aime pas non plus être en compagnie des enfants, ils me mettent extrêmement mal à l'aise, et je n'ai jamais voulu en avoir non plus. Je ne les trouve ni "mignons" ni quoi que ce soit d'autre. Ils ne m'évoquent rien si ce n'est ma propre enfance douloureuse.

Parcontre, j'estime que l'adultisme est quelque chose à combattre aux côtés du féminisme, parce que banaliser des phrases aussi violentes à l'égard des enfants, ça me paraît aller encore une fois dans la banalisation des violences qu'ils vivent. C'est pour ça que les phrases agressives à leur encontre, ça me met également extrêmement mal à l'aise. Il ne faut pas oublier qu'on a été nous aussi des enfants et qu'on aimait pas que des adultes disent ça devant nous.

C'est le genre de phrases que j'aimerais voir ne plus être banalisées. Les adultes ne sont pas superieurs aux enfants, et quand les gens comprendront ça, il y aura peut-être moins de maltraitance.

[dioptase]

Bha, j'avoue, les jeunes enfants me dégoutent un peu aussi, pour le côté bave/morve/couche pleine/etc. Après c'est pas parce qu'on éprouve du dégoût qu'on se sent supérieur pour autant, et le dégoût ne se contrôle pas. Si je vois un enfant plein de morve ou de bave, oui je vais avoir une grimace de dégoût. Peut-être que si l'enfant le voit il sera blessé, mais ce n'est pas volontaire et ce n'est pas contre l'enfant en temps que personne.

Après, j'évite les enfants de manière générale car ils sont bruyant et me mettent mal à l'aise, donc ça limite les risques.

[Grignoteuse de bouquins]

Si je vois un enfant plein de morve ou de bave, oui je vais avoir une grimace de dégoût. Peut-être que si l'enfant le voit il sera blessé, mais ce n'est pas volontaire et ce n'est pas contre l'enfant en temps que personne.

Ben pareil.

[dioptase]

Si je vois un enfant plein de morve ou de bave, oui je vais avoir une grimace de dégoût. Peut-être que si l'enfant le voit il sera blessé, mais ce n'est pas volontaire et ce n'est pas contre l'enfant en temps que personne.

Ben pareil.

Du coup, j'ai dû mal interpréter ton message. J'avais l'impression que tu trouvais que dire éprouver du dégoût face à un enfant était rabaissant pour l'enfant ? Ce que je peu concevoir, selon la manière dont c'est dit/montré